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Témoignages |
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" Notre école est fondée sur la prise en charge globale de chaque enfant, quelle que soit sa spécificité. Afin d’y parvenir, l’équipe pédagogique s’articule autour de différents partenaires (enseignants, socio-psychologue, orthophonistes, psychomotriciens…) qui travaillent ensemble de manière à apporter une réponse adaptée et cohérente aux difficultés rencontrées par les enfants lors du cursus scolaire.
Les effectifs réduits nous donnent l’opportunité de mettre en œuvre un suivi personnalisé et une écoute respectueuse des particularités de chacun.
Dans cette démarche, l’enfant se sent reconnu dans son individualité et peut développer dans un cadre rassurant l’ensemble de ses potentialités.
Les outils pédagogiques que nous utilisons sont variés, évolutifs, novateurs et permettent aux enseignants d’acquérir un savoir-faire dans lequel l’enfant demeure le principal agent de ses apprentissages.
Européa ambitionne aussi d’être une école ouverte sur le monde et l’acquisition anticipée d’une langue vivante internationale, l’anglais, symbolise notre volonté d’aider l’enfant à mieux appréhender ce qui lui est encore inconnu et ne fait pas partie de son quotidien. "
Ophélie Faivre – Directrice d’Européa.
" Mon mari et moi avons choisi d’investir financièrement et de nous investir personnellement dans l’école parce que nous avons eu envie de pérenniser le plus longtemps possible pour nos fils une scolarité qui leur est parfaitement adaptée.
Nous avons connu l’école publique avec nos deux enfants : l’aîné à " patienté " jusqu’au CE1 en s’ennuyant beaucoup, en faisant beaucoup de bêtises pour se faire remarquer et en se sentant rejeté par ses camarades et incompris des enseignants qui n ‘hésitaient pas à avouer qu’ils n’avaient pas le temps – ni certainement l’envie - de s’en occuper. Un enfant qui ne se moule pas dans le standard ne peut qu’être marginalisé et éjecté du système.
Le plus jeune a fait un blocage dés la deuxième année de Maternelle et refusait de travailler plus d’une heure par jour. Son malaise se manifestait par des colères irrépressibles et sans motifs apparents. Il ne participait plus aux activités de groupe et refusait de parler à sa maîtresse de laquelle il disait : " Elle ne m’aime plus, alors je ne l’aime plus non plus ". Une institutrice qui vous répond qu’elle n’est pas là pour aimer les enfants….
En un an et demi à Enixia puis Européa, notre fils aîné s’est tellement épanoui, autonomisé, équilibré que même ses grands-parents qui étaient réticents, reconnaissent la qualité de la pédagogie de l’école et son impact positif sur la personnalité de l’enfant.
Européa est une école exceptionnelle qui mérite de se développer pour offrir à de plus nombreuses familles la possibilité d’une scolarité harmonieuse pour leurs enfants.
Nous avons envie d’y croire et nous contribuerons, je l’espère, à l’expansion d’un concept éducatif unique qui a déjà amplement fait les preuves de son efficacité. "
Virginie Saurel-Chambily, Vice-Présidente d’Européa.
Axel Chambily, concepteur du site web d’Européa.
Parents de Raphaël (CM1) et d’Emmanuel (Moyenne Section Maternelle).
" DES ENFANTS HEUREUX… EPANOUIS… EQUILIBRES… BIEN DANS LEUR PEAU "…
" Avant d’être dans cette école, ma fille aînée était dans une école privée où la discipline était très forte et où l’écoute des enfants et le droit à la parole était très faible. Elle pleurait souvent en rentrant de l ‘école. Je n’ai pas non plus aimé l’école publique : trop d’enfants dans les classes, très mauvais relationnel avec les enseignants, aucune prise en compte des cas particuliers. J’ai voulu mettre mes enfants dans une école où ils seraient respectés. J’ai visité Européa. L’école m’a beaucoup plus. Je suis très contente de ma décision: relation avec la direction et les enseignants parfaite, ouverte, chaleureuse. Les enfants le ressentent et sont très heureux. J’ai reçu à plusieurs reprises les amis de mes enfants – dont les enfants des enseignants - que j’ai trouvé tout aussi épanouis, équilibrés et bien dans leur peau."
Julie Abergel, maman de Barbara (CM2 à l’Ecole en 1998-99), Eliot (CP), Liseron ( baby section ).
" MA PETITE FILLE A DEVELOPPE SON LANGAGE DE FACON INCROYABLE "…
" J’ai connu l’école par une amie qui y scolarisait déjà sa fille. La baby section est très rare, même en école privée. Compte tenu de l’âge de ma fille, 2 ans, la seule solution pour lui faire rencontrer d’autres enfants était la halte-garderie : je n’ai pas aimé le côté " garderie " avec 26 bébés mis dans un grand parc comme du bétail ! Je voulais que ma fille s’éveille. Ma petite fille a développé son langage de façon incroyable. Elle avait un petit problème de motricité fine ( non utilisation de sa main gauche par mimétisme avec son papa qui a le bras gauche paralysé suite à un accident de moto ). Le problème a été réglé très rapidement
J’ai déménagé cette année. J’ai longtemps cherché une maison à proximité de l’école mais nous n’avons pas trouvé. Je regretterai beaucoup Européa. "
Sandrine Charatz, maman de Emma ( baby section ).
" NOUS AVONS TROUVE EUROPEA, AVEC SA CAPACITE D’ADAPTATION AUX SITUATIONS INHABITUELLES "…
" Nous sommes venus de Suède. J’ai cherché à scolariser mes enfants. Le plus petit a été dans un premier temps à l’école publique, dans une classe de 30 élèves avec une institutrice assez rigide qui a été impuissante à l’aider dans son acquisition de la langue française ( il ne parlait qu’allemand ). Il n’a pas été en mesure de suivre, d’acquérir les " techniques " enseignées avant le CP : on ne le laissait plus ni jouer ni se développer, ni donner libre cours à une quelconque créativité. Les autres enfants se moquaient de lui. C ‘était invivable pour lui : il ne voulait plus aller à l’école. Heureusement, nous avons trouvé cette école, avec ses espaces de jeux intérieurs et extérieurs, sa capacité d’adaptation aux situations inhabituelles : les enseignants n’ont pas brusqué mon fils. Au départ, son institutrice s’était fait traduire en allemand des expressions de la vie courante en classe pour qu’il la comprenne. Résultat : Stephan parle très bien le français et a acquis la langue en douceur, en se sentant bien dans sa peau.
Uta zeyen, maman de Stephan ( grande section maternelle )
" UNE GRANDE LIBERTE ET UNE GRANDE OUVERTURE… EUROPEA SAIT S’ADAPTER AU RYTHME DE CHAQUE ENFANT "…
" Mon fils sortait d’une école Montesori bilingue quand je l’ai mis chez Européa, suite à un déménagement. Je ne regrette rien car j’avais été partiellement déçue par Montesori qui passe essentiellement par le sensoriel et laisse trop de côté tout ce qui relève de l’écrit. Je ne voulais pas qu’il soit scolarisé dans une classe de 30 enfants. Les petits ont besoin de beaucoup d’attention et d’affectif. Maxence apprenait très vite et je souhaitais une école qui puisse le suivre pas à pas et s’adapter à lui. Il était le plus jeune de sa classe et a eu du mal à faire les graphismes au début de l’année mais la présence d’enfants plus âgés a été pour lui un important facteur de progrès. Il est très épanoui dans cette école. J’ai beaucoup aimé la possibilité qui m’a été donnée de rester dans la classe avec mon fils autant que je l’ai voulu en début d’année. Lorsqu’il a vu que j’étais rassurée, il l’a été aussi. Il y a à Européa une grande liberté et une grande ouverture. Maxence, à 2 ans et demi, ne dormait plus l’après-midi : Européa sait s’adapter au rythme de chaque enfant ".
Florence Auger, maman de Maxence ( petite-moyenne section maternelle )
" CE N’EST PAS MON FILS QUI S’EST ADAPTE A L’ECOLE, C’EST L’ECOLE QUI S’EST ADAPTEE A MON FILS "…
" La nourrice de Théo nous a fait faux bon. C’était il y a deux ans. Mon fils a débuté l’école en baby section à Européa. J’ai assisté à une conférence sur les enfants surdoués et je me suis rendue compte du nombre incroyable de problèmes qu’ils rencontrent quand ils sont scolarisés dans l’école publique. J’étais étonnée car je n’avais rien constaté de tel à Européa qui intégrait pourtant un nombre important d’enfants précoces. En ce qui concerne mon expérience, ce n’est pas mon fils qui s’est adapté à l’école, c’est l’école qui s’est adaptée à mon fils. J’en ai eu une parfaite illustration 15 jours après la rentrée : mon fils s’était sectionné un orteil, il devait être immobilisé et donc non scolarisé pendant trois semaines. L’école s’est organisée pour le porter dans toutes ses activités. Le sens de l’adaptation se révèle même dans la logistique. Il y a dans cette école une grande cohérence entre les membres de l’équipe et une très bonne communication. Les choses sont toujours positivées. C’est très agréable…"
Valérie Faghéon, maman de Théo ( petite-moyenne section maternelle )
" L’ECOUTE ET LE DIALOGUE ONT ETE CONSTANTS "
" Victor a été dans trois maternelle publiques différentes en moyenne section. Dans la troisième il a fait une dépression. Les enfants devaient rester assis tout le temps. Victor n’était pas habitué, il n’était jamais allé à l’école. Dans la première école, il était devenu le bouc-émissaire, dans le seconde il a commencé à mortellement s’ennuyer, il errait parmi les autres enfants. Dans la troisième, il s’est retrouvé face à une institutrice qui trouvait qu’il parlait trop et qui sévissait parce qu’elle n’arrivait pas à le gérer. On avait l’impression quand on le mettait à l’école qu’il allait en prison. Il s’était éteint et ne communiquait plus avec personne. Nous avons su 9 mois plus tard que la maîtresse lui mettait du scotch sur la bouche pour qu’il se taise ! Victor ayant un Q.I élevé, la psychologue nous a conseillé les cours par correspondance : très difficile à gérer car Victor avait maintenant un blocage pour tout ce qui touchait à l’apprentissage scolaire. Un désastre complet, un conflit perpétuel… Finalement, c’est l’École de La Source à Meudon qui nous a orienté vers Européa. Nous avons attendu qu’une place se débloque et Victor est entré au CE1. Nous avons 110 km à faire par jour pour l’amener à l’école mais c’était la meilleure solution. Victor à dû réapprendre l’école et les autres. C’est un enfant très atypique aux dires de sa maîtresse qui a dû apprendre son mode de fonctionnement propre. L’enseignement a été adapté. L’écoute et le dialogue ont été constants. Victor est très heureux. Il chante tout le temps. On le respecte. Nous sommes très contents. "
Martine Benusiglio, maman de Victor ( CE1 )
" NOTRE FILLE S’EST TRANSFORMEE AU CONTACT DE L’EQUIPE D’EUROPEA "
" Nous avons eu le cafard quand nous sommes revenus de notre première visite à la maternelle que devait fréquenter notre fille : environnement triste, interdiction d’avoir un doudou 15 jours après la rentrée. Nous sommes allés avec notre fille voir cette maternelle publique puis visiter Européa. Elle s’y est tout de suite sentie bien et nous a dit simplement : " Ca, c’est mon école, ma belle école ! ". Notre fille s’est véritablement transformée au contact de l’équipe d’Européa. Elle voulait même aller à l’école le samedi. Je suis impressionnée par tout ce qu’elle a pu apprendre au niveau graphisme en un an. Les gens autour de nous, surtout ceux qui ont des enfants sont étonnés par la richesse de l’enseignement. L’objectif pédagogique a été rempli au delà de nos espérances."
Catherine Manin-Roux, maman d’Aisline ( moyenne section maternelle ).
" LAURA ADORE SON ECOLE : ELLE EN ARRIVE MÊME A S’ENNUYER EN VACANCES… "
" Laura allait à l’école publique à reculons. Elle ne se sentait pas valorisée ni estimée et ne rapportait jamais aucun dessin à la maison. Elle nous disait que la maîtresse ne s’occupait pas d’elle et qu’elle préférait jouer à la maison qu’à l’école. Il y avait 26 élèves dans sa classe. Elle végétait. Nous voulions mieux que ça pour notre fille que nous avons adoptée. Nous avons visité Européa et nous avons été séduits par les petits effectifs et le respect du rythme de chaque enfant. Nous sommes ravis : un dialogue positif permanent avec la direction, une possibilité de communication au jour le jour avec la maîtresse. Laura adore son école. Elle en arrive même à s’ennuyer en vacances. Nous sommes tellement satisfait du travail effectué dans cette école que nous avons décidé de faire partie des parents fondateurs. "
Pascal et Andrée Boussaud, parents de Laura ( grande section maternelle ).
" Mon école, je l’aime bien parce que j’ai plus de copains. Elle est mieux que celle d’avant… Dans celle d’avant, je n’avais qu’un seul copain.
J’aime bien ma nouvelle école parce qu’il y a des ordinateurs, qu’on peut jouer à des jeux de société pendant la récré.
Ici, j’aime tout à part la dictée…surtout le latin et l’anglais. On fait plus de choses…on fait plus de contrôles, on travaille plus, mais c’est quand même mieux. On apprend plus vite. L’après-midi, on fait des ateliers. J’aime bien l’informatique en anglais, l’atelier masques… ".
RAPHAEL, CM1.
" Dans les autres écoles, les maîtresses n’étaient pas patientes, elles n’expliquaient pas. Ici, quand on pose des questions, elles nous répondent toujours, elles nous aident.
C’est mieux, ici. Dans mon autre école, il y avait des copains et des pas copains. Ici, tout le monde s’entend bien. "
RICHARD, CM2.
"Je trouve que l’ambiance est sympathique. J’ai été dans d’autres écoles et ça n’a jamais été comme ça. C’est pas le même style de travail : ici, c’est plus relâché, plus détendu. On sait qu’on peut toujours compter sur l’aide de la maîtresse. L’année dernière, j’étais dans une classe où il y avait 32 élèves : la maîtresse ne pouvait pas s’occuper de tout le monde. Ici, il y 13 élèves, c’est plus détendu. Entre professeurs et élèves, on a le droit de se tutoyer…"
PIERRE-YVES, CM2.
" Dans les autres écoles où j’ai été, les maîtresses n’étaient pas gentilles avec nous : quand on faisait un tout petit bruit, on avait 100 mots à copier pendant la récréation. C’était pas très cool ! On avait toujours plein de devoirs : les cartables étaient lourds et ça nous faisait mal aux épaules. Dans cette école, c’est super parce que les maîtresses ont beaucoup de respect pour les enfants. On a le droit de faire des choses qui sont interdites dans les autres écoles : à la récréation, on avait le droit d’aller que dans la cour. Ici, on a plein d’endroits pour aller jouer : la salle de jeux avec les jeux de société, la salle des ordinateurs… Y’a une ambiance vraiment très chaleureuse. On ne se bat pas. Les problèmes se règlent toujours gentiment.
En plus, on n’a pas tous le même travail même si on est dans la même classe : ça dépend de notre niveau, des matières où on est fort ou faible. On travaille sur ce qu’on ne sait pas. On a un système de pochettes qui nous permet de faire un travail individuel : on n’est pas obligé d’attendre que tout le monde ait fini."
MARJOLAINE, CM2.
" Dans l’école où j’étais, je m’ennuyais tout le temps. Notre maîtresse nous apprenait quelque chose et on le révisait pendant un an ! Le programme, c’était : on apprends quelques trucs au mois de septembre et on révise le reste de l’année ! Je m’ennuis beaucoup moins ici. "
NOE, CM2.
" Où j’étais avant, on ne faisait que des maths et du français toute l’après-midi. Je ne savais rien en histoire et en géographie. Les exercices n’étaient jamais expliqués en profondeur. C’était dur. On n’avait pas de jeux. On devait toujours rester dans le préau. Ici, on peut aller partout. "
JEAN-BAPTISTE, CM1.
" Moi, j’ai toujours été dans cette école. Ce qu’on fait, c’est bien. On n’est pas beaucoup : c’est mieux pour expliquer. "
GAEL, CM2.
" J’aime bien mon école parce qu’elle est bien pour moi. Elle dure très longtemps. "
MATHIEU, petite Section Maternelle.
" Mon école, elle est super bien. On travaille bien et y’a plein de récréations. La maîtresse est super parce qu’elle est marrante. J’ai été dans une autre école, elle était moins mieux. Quand quelqu’un me tapait, c’était moi qui me faisait disputer, c’était pas l’autre. "
SALOME, CE1.
" Je trouve mon école bien parce qu’il y a plein de choses que j’aimerai avoir dans ma maison. "
THEOPHILE, CP
" Je rêve de rester ici. Et Ophélie, elle est jolie. J’ai plein de copains. Je travaillais pas bien dans ma deuxième école, alors j’ai dû en choisir une troisième. Ici, je fais moins de bêtises ".
YANN B, CP
" J’aime mon école parce que y’a des amis. Je peux amener des jouets pour jouer avec eux. Mon autre école, elle était nulle parce que à chaque fois que quelqu’un me tapait, c’était toujours moi qui me faisait disputer. "
MICKAEL, CP.
" J’adore cette école : je travaille bien, j’aime bien ma maîtresse, j’aime bien mes copains. C’est bien. Dans l’autre école où j’étais, j’allais au coin. Ici, ça change tout. C’est beaucoup mieux. "
YANN P, CE2.